Vous n’aurez pas ma haine. Pas à cause d’un faux humanisme trop
répandu. Seulement parce que la haine pourrait me rendre moins efficace pour te
trancher la carotide, te détruire de mes propres mains. Le légionnaire, le
pratiquant d’arts martiaux apprennent à n’éprouver ni haine ni colère qui
pourraient perturber leur seul but : la mise à mort de l’adversaire. Je te
tuerai calmement, tranquillement. Je n’éprouverai nulle haine, plutôt de la
délectation. Et lorsque tu resteras là, gisant dans ton sang, je n’éprouverai
pas plus d’émotion qu’en ayant tué un insecte qu’il fallait éliminer. Tout au
plus aurai-je un léger sourire aux lèvres.
Vous n’aurez pas ma haine, elle serait une perte de temps et d’attention
que personne n’a à vous accorder. Car vous êtes des inférieurs, vous ne valez
rien. Vous prétendez à la pureté parce que votre intérieur n’est qu’une déchetterie
et vous le savez. Vous suivez des révoltes de pacotille parce que toute votre
vie n’est que pacotille. Face à vos échecs et vos malheurs, vous n’avez jamais
eu le vrai courage de bâtir et d’étudier en réponse, courage que ceux qui ont
souffert bien plus que vous ont eu et que vous haïssez pour cela. Vous êtes
minables de bout en bout. Vous n’avez ni culture ni civilisation, vous n’avez
fait que piller celles qui vous dépassaient. Il vous aurait fallu une véritable
volonté et une véritable détermination, toutes choses que vous confondez avec
la boursouflure de votre ego et de votre aigreur qui se répand comme un
chancre. Vous pensez conquérir. Vous ne faites que vous répandre.
Vous n’aurez pas ma haine, je ne la réserve qu’à des adversaires de valeur,
qui m’obligent à puiser dans mes ultimes ressources. Vous n’êtes bons qu’à vous
attaquer à des femmes sans défense, à des enfants, à des personnes désarmées.
Face à des hommes déterminés et hommes d’honneur, vous n’avez aucune chance et
vous le savez. Vous n’êtes pas des combattants, vous êtes incapables de
maîtriser la moindre de vos pulsions. Vous prétendez lutter contre la décadence
du monde et vous violez jusqu’aux enfants, vous vous vautrez dans la pourriture
de votre être. Pour cette raison, il n’y a rien à craindre de vous. Vous
perdrez, vous avez déjà perdu. Face à des hommes véritables, vous vous
répandrez comme des larves écrasées, révélant votre vraie nature et votre
fausse religion.
Vous n’aurez pas ma haine. Haïr quelqu’un suppose que l’on a encore un
minimum d’estime pour lui.
C'est une attitude, ce n'est pas une prière
RépondreSupprimerBien vu et une attitude détermine des COMPORTEMENTS ...CQFD !
RépondreSupprimerJ'aime bien ce texte
RépondreSupprimerça fait du bien de ne pas entendre que des bénits oui oui!!
RépondreSupprimertrès bien vu et très bien dit!!
Vous avez dis très justement ce que tout le monde pense , les mots sont juste et vrai bravo !!!
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