Le retour à la méthode syllabique
pour l’apprentissage de la lecture sera désormais obligatoire. De véritables
scientifiques et non de pseudo-pédagogues ont tranché depuis longtemps sur ce
sujet : https://www.youtube.com/watch?v=u9b0BRiV
Les mathématiques seront à
nouveau enseignées comme la maîtrise de concepts, non comme une série de
« recettes de cuisine » à appliquer sans compréhension. La portée de
généralité d’un théorème sera à nouveau expliquée, distinguée d’une série de
cas particuliers.
Le programme « la main à la
pâte » de Georges Charpak sera réactivé pour l’ensemble des sciences
expérimentales, et étendu à la totalité des collèges.
L’histoire de France enseignera à
nouveau les grandes étapes de constitution de la nation. Les origines
gauloises, judéo-chrétiennes, grecques et romaines de la France seront
rappelées et réaffirmées. Il sera également montré comment la connaissance de
ces quatre origines est indispensable à la compréhension du patrimoine
artistique, littéraire et philosophique de la France.
L’apprentissage du Latin et du
Grec seront à ce titre des enseignements à part entière de l’éducation
nationale.
Il n’existe aucune
« dimension arabe-orientale de la France ». Les cultures arabes
et islamiques seront étudiées en cours d’histoire, non comme une partie de la
France mais comme une civilisation autre que la nôtre. Les accomplissements
positifs de ces cultures (arts, mathématiques, philosophie) seront enseignés,
ainsi que les échanges auxquels elles ont donné lieu avec la nôtre. Ceci
valorisera bien plus les élèves français musulmans qui souhaitent comprendre
une partie de leurs origines dans ce qu’elles ont produit de meilleur il y a
plusieurs siècles, qu’une soumission à ce qu’elles produisent de pire
actuellement (intégrisme, arriération, déni des libertés, violence, loi des
caïds et des gangs), qui les encourage à reproduire leurs méfaits au lieu de
s’élever.
En instruction civique, le détail
de fonctionnement des bureaucraties européennes ou d’entités économiques
changeant constamment cessera d’être enseigné : seules leurs grandes
missions seront mentionnées.
Les fondamentaux de la
constitution d’une République seront à nouveau enseignés :
-
Souveraineté de la nation
-
Séparation des trois pouvoirs exécutif,
législatif et judiciaire
-
Laïcité
-
Liberté d’expression et liberté de la presse
-
Droit de constituer des associations
Il sera également fait remarquer
qu’il n’est pas possible de comprendre le fonctionnement des entités
européennes ni de se livrer à leur critique démocratique sans la connaissance
de ces fondamentaux, et qu’il convient donc de les apprendre préalablement au
fonctionnement de toute autre institution.
Au début de chaque journée
scolaire, une cérémonie de 15 minutes aura lieu dans la cour de l’école,
consistant en :
-
Lever du drapeau français
-
Chant de « La Marseillaise »
obligatoire pour tous les élèves
-
Serment d’attachement et de fidélité à la nation
française
-
Serment de respect des fondamentaux de la
république française (voir plus haut)
Lors de la cérémonie de début de
journée, les élèves devront proclamer que les fondamentaux de la république
française sont inaliénables et qu’ils s’engagent à les respecter en tant que
Français. Ils devront également proclamer que le respect des lois de la
république française prime sur toute autre loi, notamment sur toute loi de leur
religion s’ils en pratiquent une.
Le port d’un uniforme fourni par
l’éducation nationale est obligatoire au sein de l’établissement scolaire. Aucune
dérogation ou adjonction vestimentaire ne sera acceptée vis-à-vis de cet
uniforme, qui ne sera différencié que pour garçons et filles, et pour les
saisons de l’année.
Une présence militaire sera
assurée au sein des établissements scolaires, afin de surveiller les cours de
récréation ainsi que les enseignements en classe, en assistance aux maîtres et
professeurs. Les militaires seront au nombre de deux par salle de classe. Ils
n’interviendront qu’en cas de manquement à la discipline et sur demande du
maître ou du professeur.
Aucune forme de délinquance ou de
violence ne sera tolérée au sein de l’établissement. La majorité pénale sera
abaissée à l’âge de 10 ans en France, certains quartiers voyant des enfants de
cet âge déjà capables d’actes de délinquance et de violence graves. Ceux qui
estiment que la fixation à un âge aussi bas que 10 ans est exagérée peuvent
vérifier qu’actuellement en Grande-Bretagne, un enfant de cet âge peut
être mis en prison. Les actes de violence seront immédiatement réprimés par les
forces militaires au sein de l’établissement.
Les actes graves de délinquance
ou de violence conduiront au placement de l’élève qui s’en est rendu coupable
dans un centre éducatif fermé, entièrement sous administration et enseignement
militaire, voire à des sanctions pénales plus importantes en fonction du délit.
Il sera rappelé que la majorité pénale ayant été abaissée à l’âge de 10 ans,
des peines d’incarcération pourront être prononcées à partir de cet âge.
Le bureau du directeur
d’établissement sera gardé par cinq militaires. Les parents ayant eu l’habitude
dans les années précédentes de se croire tout permis et de crier sur le
directeur ou de le menacer pour toute contrariété à l’encontre de leur
progéniture (mauvaise note, sanction parfaitement légitime, …) seront
immédiatement recadrés par les militaires présents. Il leur sera rappelé qu’ils
sont en France, que les règles de la discipline doivent être respectées, et
devront présenter leurs excuses au directeur d’établissement, sous peine de
sanction pénale en cas de non exécution. Il en sera de même de toute attitude
insultante ou menace vis-à-vis des maîtres et professeurs.
L’instruction dispensée par les maîtres et
professeurs est obligatoire, l’élève n’ayant pas à choisir « à la
carte » les enseignements qu’il souhaite suivre pour toute raison
personnelle (paresse, conviction religieuse ou politique, etc.). Toute attitude
d’insolence ou d’indiscipline vis-à-vis de cette règle sera immédiatement
sanctionnée, y compris par l’emploi de la force militaire présente en classe.
L’élève devra présenter ses excuses en cas de manquement, réaffirmer son
attachement à la France et à la discipline de l’école, et réciter
l’enseignement qu’il avait refusé d’apprendre afin de montrer qu’il admet son
devoir.
Ces dispositions sont applicables
dès le 19 mai 2015, dans une France revivifiée.
Ah, je me disais aussi...Je m'étais assoupi un moment cet après-midi et j'ai rêvé. Ou peut-être pas, finalement....
RépondreSupprimerheu ... un peu trop de militaires, peut-être ?
RépondreSupprimerUn ami avisé m'a fait justement remarquer que la fonction du militaire ne pouvait être celle d'une super-milice, le maintien de l'ordre et le combat pour la vie étant deux métiers très différents, qu'il est dangereux de confondre. J'en suis entièrement d'accord, et mon texte devrait être modifié dans ce sens. En revanche je reste persuadé de la nécessité d'un retour très intransigeant à l'autorité : nous sommes allés si loin dans l'acceptation de n'importe quelle marque d'insolence, de non respect, voire de violence pure et simple auprès des professeurs, qu'un retour à la normale ne peut plus passer que par une réaffirmation drastique de l'autorité.
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